À quoi sert le développement des CPS ?


Chez les enfants, le renforcement des CPS favorise le développement global (social, émotionnel, cognitif, physique), améliore les interactions, augmente le bien-être et contribue donc à diminuer les comportements défavorables à la santé et à augmenter les comportements favorables. Les CPS jouent aussi un rôle essentiel dans l’adaptation sociale et la réussite éducative. Chez les adolescents, outre les effets observés chez l’enfant (développement global, bien-être, etc.), le développement des CPS permet de prévenir la consommation de substances psychoactives (drogues illicites, tabac, alcool), les problèmes de santé mentale, les comportements violents et les comportements sexuels à risque. Chez les adultes, il agit toujours sur le bien-être subjectif et la qualité des relations. Il favorise, chez les parents, les pratiques éducatives positives. L’empathie, la capacité à répondre adéquatement aux besoins fondamentaux et la mise en œuvre de règles et de limites constructives en sont des exemples. Ces compétences et pratiques éducatives permettent l’établissement de relations positives entre parents et enfants, et augmentent le sentiment d’efficacité parentale. Ces CPS parentales ont également de l’impact sur les enfants et les adolescents. Chez les enfants, elles sont associées à une meilleure estime de soi, des capacités de résilience, de meilleurs résultats scolaires, de plus grandes compétences sociales, une moindre association à des pairs ayant des comportements antisociaux et un faible niveau d’anxiété et de dépression. Chez les enfants et les adolescents, il a été démontré que les CPS parentales étaient des facteurs de protection des troubles de comportements et de l’abus de substances.



La magie à tous les âges


Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de la magie qu’il y a dans notre époque. Nous avons en effet l’habitude de nous focaliser sur ce qui ne va pas, au point que nous finissons par perdre de vue la magie qui nous entoure. Je me suis fait cette réflexion la semaine dernière, lorsque j’ai pris les commandes d’un simulateur de vol. C’était à Lille, et je dois dire que j’ai été carrément époustouflé par le réalisme de ce vol. Quand je repense aux simulateurs de vol auxquels je jouais étant enfant, je me rends compte de tout le chemin parcouru ! C’est à peine croyable ! Naturellement, pour les plus jeunes, tout cela est un acquis. Il faut dire que les enfants grandissent entourés d’écran, et ces simulateurs nouvelle génération n’ont donc pour eux rien de surprenant. Mais pour qui a connu les jeux en 8 bits, c’est tout simplement extraordinaire. Cette époque a quelque chose de magique, mais en fait, il n’y a que les adultes qui peuvent s’en rendre compte. Parce qu’ils ont vécu dans un monde où le téléphone était doté d’un gros cadran qu’on faisait tourner en mettant son index dedans ! Et cette expérience a un peu changé ma manière de voir, je dois dire. Jusqu’ici, je reliais, comme beaucoup de monde, la magie à l’enfance. Pourtant, ce que j’ai ressenti dans ce simulateur de vol montre qu’il existe une forme de magie qui ne peut être perçue que par les adultes. Et ça, ça change tout ! Cette expérience m’a montré que l’enfance n’est pas une époque bénie qu’il faut regretter, tel Peter Pan refusant de grandir : la magie est présente à chaque âge, et il suffit de prêter attention pour l’entrevoir ! Si, comme moi, vous avez fait vos premiers pas en programmation en essayant de déplacer une tortue sur un écran (tortue qui n’était en fait qu’un triangle), je vous recommande chaudement de faire l’expérience de ce simulateur de vol: vous allez voir, ça fait un sacré choc ! Je vous mets en lien le site où je l’ai trouvé. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur vol en simulateur.



Exode rural et pauvreté urbaine


Dans les pays en développement, l’exode rural et la croissance démographique incontrôlée des zones urbaines, qui en est le corollaire, sont la conséquence directe des politiques de spécialisation internationale imposées par les anciennes puissances coloniales et les entreprises multinationales qui leur ont succédé. Il s’agit d’un modèle de développement fondé sur la production et l’exportation de quelques produits de base et sur la destruction corrélative de l’économie de subsistance traditionnelle, afin de libérer les sols et la main d’œuvre nécessaires aux productions d’exportation. Les mesures d’ajustement structurel imposées par les institutions financières internationales ont eu pour effet d’accélérer ce processus. Cet exode massif de populations déplacées contre leur gré est venu nourrir une croissance urbaine déconnectée, la plupart du temps, de toute dynamique économique dans les agglomérations concernées. Dans ces conditions, l’explosion démographique s’est inéluctablement accompagnée d’un chômage massif, lié à l’absence d’activités susceptibles d’offrir des emplois adaptés au profil de la main d’œuvre disponible. La paupérisation qui en résulte est aggravée par les difficultés techniques et financières que rencontrent les villes pour mettre en place les instruments de planification urbaine et les services collectifs indispensables. Ce processus est à l’œuvre dans bon nombre de grandes métropoles africaines comme Lagos, Kinshasa, Bamako ou Bangui. Ce phénomène a été particulièrement mis en évidence dans le rapport sur la ville inclusive, introductif au 4ème Forum international sur la pauvreté urbaine (FIPU, 2001). Il est évident que la thématique de la pauvreté est centrale dans les analyses de la crise urbaine des pays en développement. Mais ce consensus apparent dissimule de nombreuses ambiguïtés ou contradictions. En effet, il est généralement fait un large usage d’indicateurs monétaires qui ne rendent pas compte de la réalité des effets sociaux de la pauvreté. Dans une économie marchande totalement monétarisée, ce qui est le cas des métropoles occidentales, un revenu individuel de deux dollars par jour correspond à une situation de misère totale. Par contre, les mêmes ressources monétaires permettent de survivre de façon presque décente dans un contexte où persistent des activités économiques de subsistance et où une bonne part du secteur informel échappe aux recensements statistiques. En d’autres termes, l’évaluation des situations de pauvreté implique la prise en compte de facteurs qualitatifs, comme l’état sanitaire ou le niveau d’alphabétisation qui sont retenus par les indicateurs de développement humain. Mais la portée de ces éléments est elle-même difficile à apprécier, car les populations qui sont dans les situations de plus grande exclusion échappent à tout suivi, ce qui est souvent le cas des migrants en situation irrégulière (ressortissants du Bengladesh dans les métropoles indiennes par exemple).



L’hodman et le cloud


Mais un corps peut être amené à atteindre une certaine élévation en opposition à la force de gravité, sans être réellement porté. Si un hodman, par exemple, voulait faire atterrir une brique à une hauteur de seize pieds au-dessus de l’endroit où il se tenait, il le moulerait probablement jusqu’au briqueteur. Il donnait ainsi, par un effort soudain, une vitesse à la brique suffisante pour l’élever à la hauteur voulue; le travail accompli par cet effort étant exactement le même que s’il avait lentement remonté la brique. La vitesse initiale à donner, dans ce cas, est bien connue. Pour atteindre une hauteur de seize pieds, la brique doit quitter la main de l’homme avec une vitesse de trente-deux pieds par seconde. Il est inutile de dire qu’un corps partant de n’importe quelle vitesse, s’il n’est pas opposé ou sans aide, continuera à bouger éternellement avec la même vitesse. Mais quand, comme dans le cas qui nous occupe, le corps est projeté vers le haut, il s’oppose à la pesanteur, qui retarde sans cesse son mouvement et l’amène finalement à seize pieds d’élévation. S’il n’était pas ici pris par le maçon, il reviendrait à l’hodman avec un mouvement accéléré, et atteindrait sa main avec la vitesse précise qu’il possédait en le quittant. Une relation importante entre la vitesse et le travail est ici à souligner. En supposant que l’hodman ait la compétence de donner à la brique, au départ, une vitesse de soixante-quatre pieds par seconde, ou deux fois sa vélocité antérieure, la quantité de travail accomplie serait-elle le double de ce qu’elle était en première instance? Non; ce serait quatre fois cette quantité; pour un corps commençant avec deux fois la vitesse d’un autre, atteindra quatre fois la hauteur. De la même manière, une vitesse de trois va donner une élévation de neuf fois, une vitesse de quatre fois donnera une élévation de seize fois, et ainsi de suite. La hauteur atteinte n’est donc pas proportionnelle à la vitesse initiale, mais au carré de la vitesse. Comme précédemment, le travail est également proportionnel au poids élevé. De là l’œuvre que toute masse mouvante, quelle qu’elle soit, est capable, en vertu du mouvement qu’elle possède à tout moment, d’être proportionnelle à son poids et au carré de sa vitesse. Ici, nous avons une seconde mesure de travail, dans laquelle nous traduisons simplement l’idée de hauteur dans son idée équivalente de mouvement. Retrouvez plus de renseignements sur l’agence en référencement naturel.



Un drôle de défilé


Une immense grotte de bois enduit de béton est posée au milieu d’un jardin, celui du Musée Rodin, à Paris. La caverne est encore un peu sombre, elle sent la peinture, des câbles pendouillent du plafond. Dans trente-six heures s’y déroulera le défilé Dior (plus de 1 000 invités et vraisemblablement plusieurs millions d’euros de budget), mais tout le monde a l’air serein, à commencer par Alexandre de Betak, chargé de ce show, qui collabore avec Dior depuis vingt ans. Très digne malgré ses surchaussures turquoise, il fait le tour du chantier devant les caméras de TF1, qui lui consacre un reportage pour la sortie de son livre modestement nommé Betak : Fashion Show Revolution (292 pages, 89,95 euros). Son éditeur, Phaidon, sait que son temps est précieux, et lui a collé autant d’interviews que possible dans le peu de temps dont il dispose. Lundi 25. Alexandre de Betak s’agite dans tous les sens au défilé Jacquemus qu’il organise également, poursuivi par les caméras de TF1, et par celles du journaliste Loïc Prigent pour Canal+. France 24 est là aussi, on patiente. Betak assure les répétitions, galvanise les mannequins (« Be sexy, be strong, be glamorous ! », accent français garanti) puis s’excuse de devoir partir, affirme que ça ne lui arrive presque jamais de s’éclipser avant le show. Et s’engouffre dans sa voiture noire pour rejoindre d’autres urgences. Mardi 26. Dans la grotte Dior, désormais étincelante grâce aux 300 000 morceaux de miroir qui la tapissent, Betak poursuit son numéro d’équilibriste. Il contrôle les finitions du show imminent, apaise TF1 qui aimerait le suivre partout, ménage la susceptibilité de son client à qui il ne doit pas faire d’ombre. Canal+ suit les tractations. Betak, toujours cool, revient vers nous dès qu’on tombe dans son champ de vision et s’enquiert, souriant : « Je dois vous parler ? »



Du parapente à Ancelle


Pour certaines personnes, je suis une véritable énigme : en effet, j’ai souvent besoin de sortir du train-train quotidien et de faire une expérience hors des sentiers battus. Le genre d’expérience qui me met le sourire aux lèvres pendant des semaines. Récemment encore, j’ai expérimenté un baptême de parapente à Ancelle et en suis ressorti transfiguré et apaisé. Certains de mes collègues ne conçoivent pas mon intérêt pour l’aventure. Je crois qu’ils perçoivent ce besoin comme une manifestation de profonde immaturité. Toutefois, ce n’est pas comme ça que je vois les choses. Quand je m’offre ce type d’escapade, ce n’est pas pour m’éloigner de ma famille, mais au contraire pour mieux revenir vers elle : c’est en somme pour renouer avec l’essentiel. Il peut paraître étrange de s’éloigner de quelque chose pour mieux voir. Mais j’ai tendance à penser que lorsqu’on baigne dans le quotidien, lorsqu’on a juste sous les yeux, on ne l’apprécie plus autant qu’on devrait. Il est donc vital de s’arracher de son quotidien de temps en temps pour revenir à la source de notre bonheur. Mes collègues estiment qu’en faisant cela, je ne me comporte pas en père. Et c’est vrai, en un sens : c’est que je ne suis pas que père ; je ne vois pas pourquoi je devrais me fondre entièrement dans mon rôle de père ; j’existe en tant qu’individu à part entière, et non seulement en tant que membre d’un tout. Et surtout, ces temps libres me permettent de dénouer toutes les tensions existantes, et je passe du coup beaucoup de bon temps avec ceux que j’aime quand je reviens de ces sorties en solo. A voir à comment certains parlent à leur descendance, comme ils euvent être accablés en permanence par leurs marmots, je me dis que ma formule ne semble pas si mauvaise. Mieux vaut s’octroyer une pause détente pour respirer que de faire une croix sur une part de soi, au risque de le faire payer inconsciemment à sa marmaille ! Bien évidemment, si certains n’ont pas besoin de faire de pause, c’est parfait pour eux. Mais je ne suis visiblement pas fait du même bois. Bref, j’ai beaucoup apprécié ce baptême en parapente. Les sensations procurées par celui-ci sont carrément épatantes. Pour ceux qui veulent en savoir plus, suivez le lien. En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste renommé de ce baptême en parapente dans les Hautes-Alpes.

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Trouver le Khalo


«Qui peut nous dire ce qui est arrivé au tableau disparu, où peut-on le retrouver?» L’affichette trône à côté d’une photo de La table blessée, le plus grand tableau que l’artiste mexicaine Frida Kahlo ait jamais peint, un chef-d’oeuvre surréaliste mystérieusement disparu en 1955 à Varsovie. Ines et Joana Cavaco, deux jeunes Portugaises, ont fait une nuit de bus pour venir voir l’exposition consacrée à Kahlo et à son compatriote et mari Diego Rivera, présentée à Poznan (ouest de la Pologne) jusqu’au 21 janvier. On y découvre une réplique grandeur nature de 2,44 m sur 1,21 m, en noir et blanc, de la toile manquante: un double auto-portrait figurant l’artiste assise derrière une table tâchée de sang, entre un Judas et un squelette, un tableau faisant penser à la Cène. Près de l’affichette en forme d’avis de recherche, une petite boite à idées invite les visiteurs de l’exposition à «entrer dans l’Histoire» en suggérant des pistes pour retrouver le chef-d’oeuvre volatilisé. «J’ai écrit que probablement le tableau a été détruit, ou il a été volé et vendu sur le marché noir», déclare à l’AFP Ines Cavaco, 21 ans, étudiante à Cracovie. «C’est évident: il est accroché chez quelqu’un dans son salon», estime sa soeur Joana, 23 ans, une grande fan de Kahlo qui comme elle porte une coiffure parée de fleurs. L’exposition Frida Kahlo et Diego Rivera: le contexte polonais au centre culturel ZAMEK, un château construit pour l’empereur Guillaume II et destiné plus tard à Hitler, retrace les liens peu connus de ce célèbre couple d’artistes avec la Pologne. Leurs tableaux sont accrochés aux murs d’un jaune qui rappelle la palette flamboyante de Kahlo et sa joie de vivre, gardée malgré des problèmes de santé et en dépit des aventures amoureuses de son époux Rivera. Deux salles sont consacrées à deux autres artistes d’origine polonaise et proches du couple: la photographe Bernice Kolko, qui a notamment pris Kahlo sur son lit de mort en 1954, et la peintre muraliste Fanny Rabel, une de ses quatre élèves les plus dévouées. Une autre salle rappelle l’exposition sur l’art mexicain présentée à Varsovie en 1955, dernier endroit où fut montrée La table blessée. «Il doit être quelque part. Il n’a pas pu juste disparaître, un tableau si grand. À moins qu’ils l’aient brûlé dans un poêle dans les années 1950…», a déclaré à l’AFP Helga Prignitz-Poda, la commissaire de l’exposition Kahlo et Rivera. «C’est une des raisons pour lesquelles j’ai fait cette exposition. Peut-être qu’un jour quelqu’un en Pologne a vu ce tableau quelque part», a-t-elle ajouté. «Il n’a pas pu juste disparaître, un tableau si grand» Helga Prignitz-Poda, la commissaire de l’exposition Kahlo et Rivera Frida Kahlo, connue pour son mono-sourcil, ses jupes longues et ses bijoux lourds, avait créé La table blessée pour l’exposition internationale du surréalisme organisée en 1940 à Mexico. Puis l’oeuvre a été accrochée dans sa maison, avant que l’artiste ne l’offre à l’URSS par amour du communisme. Mais, envoyée à Varsovie pour une exposition sur l’art mexicain qui a tourné ensuite dans plusieurs pays socialistes, elle a disparu dans la capitale polonaise, peut-être à cause de son caractère: La table blessée offrait une «représentation surréaliste absolument cruelle de la double Frida» qui allait à l’encontre du style réaliste socialiste. Cette toile est aujourd’hui considérée comme un chef-d’oeuvre, estimé à 20 millions de dollars. À l’époque, «il y a eu des déclarations officielles selon lesquelles ce tableau n’était pas exposable, qu’il était tellement terrible, qu’il ne valait pas l’argent dépensé pour son transport. Il est possible que les propriétaires russes n’aient pas voulu le récupérer», estime la responsable de l’exposition.



L’apport de recettes nouvelles favoriserait la croissance des recettes en dépit de la baisse du taux de cotisation famille en 2017


L’apport de recettes nouvelles vise à compenser les pertes de recettes et les suppléments de dépenses inscrits dans les LFSS 2016 et 2017. Les recettes augmenteraient de 2,9% en 2017. Les cotisations sociales du régime général s’élèveraient à 211,4 Md€, en progression de 2,9% soit une évolution proche de celle de la masse salariale (+2,8%). Ces hausses quasiment identiques occultent d’autres facteurs tant baissiers que haussiers. L’effet en année pleine de la diminution des cotisations famille et l’extinction de la recette issue du prélèvement à la source des caisses de congés payés seraient contrebalancés par la hausse des taux de cotisation vieillesse (+0,1 point), le renforcement de la lutte contre la fraude ainsi que de la mise en œuvre du protocole Parcours professionnels, carrières et rémunérations (PPCR) qui a revalorisé la rémunération de certaines catégories de fonctionnaires. Les cotisations prises en charge par l’Etat devraient augmenter massivement, passant de 3,3 Md€ à 5,7 Md€. La LFSS pour 2017 a prévu la compensation d’exonérations auparavant non compensées, en contrepartie des pertes de recettes induites par le pacte de responsabilité et des transferts de dépenses en provenance du budget de l’Etat. De plus, la prise en charge de la baisse de cotisations maladie des exploitants agricoles élargit également le champ des exonérations compensées par dotation budgétaire2 . En 2017, la CSG viendrait ralentir la dynamique des recettes globales en ne progressant que de 0,4%. Ce ralentissement résulte d’une conjonction de facteurs : le contrecoup de l’inscription en 2016 de 0,7 Md€ de produit exceptionnel en ce qui concerne la CSG activité (en croissance de 1%), le rehaussement des seuils d’assujettissement à la CSG à taux réduit et à taux plein pour ce qui est de la CSG remplacement (en croissance de 0,8%) et enfin la contraction de l’assiette de la CSG assise sur les revenus du capital (en recul de -2%). Les recettes de contributions, impôts et taxes progresseraient fortement pour le régime général et le FSV en 2017 (+4,2%). Cette augmentation est essentiellement portée par l’affectation de recettes nouvelles ainsi que par la création de nouvelles taxes en application de la LFSS pour 2017 : la contribution sociale supplémentaire de solidarité sur les sociétés ainsi que la taxe sur les fournisseurs de tabac. Le régime général récupère en outre l’intégralité des droits tabac et de la taxe sur les véhicules de société. Il se voit également attribuer les recettes mises en réserve à la section III du FSV (0,9 Md€) ainsi qu’une fraction supplémentaire de TSA. En contrepartie, la fraction de TVA nette affectée à la sécurité sociale est revue à la baisse en 2017.



Sortir d’un lease auto


Les contrats sont parfois difficiles à respecter. Le concept d’entrer en un nécessite beaucoup de réflexion et de prise de décision ne devrait être fait que lorsque vous êtes prêt pour les obligations. Sur le côté d’un bail de voiture, il y a beaucoup de choses à peser afin de ne pas subir les conséquences. La principale préoccupation serait l’argent, donc tout devrait être calculé jusqu’à la dernière goutte d’un centime. Voici quelques moyens utiles qui est assez commode pour sortir de la location de voiture. Contenu: Les contrats sont parfois difficiles à respecter. Le concept d’entrer en un nécessite beaucoup de réflexion et de prise de décision ne devrait être fait que lorsque vous êtes prêt pour les obligations. Sur le côté d’un bail de voiture, il y a beaucoup de choses à peser afin de ne pas subir les conséquences. La principale préoccupation serait l’argent, donc tout devrait être calculé jusqu’à la dernière goutte d’un centime. Voici quelques moyens utiles qui est assez commode pour sortir de la location de voiture. Envisager un scénario à double extrémité. La sortie d’un contrat de location de voiture dépend en grande partie de l’accord que vous avez conclu. Si vous avez discuté de choses avec l’entreprise, vous avez toutes les chances d’obtenir facilement un contrat de location sans frais. L’une des options que les entreprises ont en main est que les deux parties gagnent quelque chose. En tant que consommateur, vous devriez avoir au moins bénéficié des avantages du plan de voiture, tandis que l’entreprise a été payé le montant raisonnable. Assurez-vous que le futur locataire a une bonne réputation de crédit. Tout comme tout autre processus, un bail de voiture devrait faire l’objet d’une enquête de fond de la part du locataire avant la sortie de la voiture. Même si c’est juste un transfert, vous devez être assez conscient du caractère du futur détenteur de la voiture. Vous aurez une mauvaise image une fois que votre cessionnaire ne posera pas une bonne position comme vous l’avez fait lorsque vous étiez celui qui utilise la voiture. Afin de sortir de la location de voiture, assurez-vous que votre réputation ne sera pas affectée du tout. Préparer la voiture pour l’inspection nécessaire. N’essayez jamais de quitter votre obligation simplement parce qu’il y a eu des problèmes associés à votre contrat de location de voiture. Assurer la compagnie de voiture que vous êtes prêt à soumettre la voiture dans l’enquête appropriée avant que vous lui rendiez. Une urgence familiale semblera convaincante de sortir de la location de voiture. Cependant, vous ne devriez pas utiliser cette excuse sans raison car cela finira par toutes vos relations futures avec l’entreprise. Soyez prêt à discuter des questions avec votre compagnie de voiture. Prenez note que vous n’êtes jamais sur une perte perdue et que vous ne serez pas discriminé juste parce que vous voulez sortir de la location de voiture. Tant que vous dites la vérité, il n’y a aucun moyen de ne pas être libéré de l’obligation. Ouvrir les affaires à la considération de la compagnie et rendre la cession appropriée du contrat de location de voiture. Demandez-leur si vous pouvez faire affaire avec eux dans un proche avenir, malgré la fin du bail à un stade plus précoce. Comme d’autres le disent, il faut deux pour le tango. Vous devez faire confiance à vos bailleurs de la façon dont vous vous faites confiance. Vous devez vous rendre disponible à tout moment des questions sont nécessaires auprès de vos sociétés de location de voiture. Ne détruisez pas votre image en faisant de fausses annonces concernant votre statut. Aidez l’entreprise à trouver un futur locataire de bonne réputation, comme vous l’aviez trouvé respectable par l’entreprise. En savoir plus en suivant le lien vers Les plus belles voitures du monde.



Les implications de l’agilité en entreprise


Comme le rappelle Isaac Getz, « ce n’est pas le changement qui suscite des résistances mais le fait d’être changé. » Les entreprises qui sont conscientes de l’effort demandé à leurs collaborateurs cherchent souvent à faire passer le cap de l’agilité, en les initiant à de nouvelles pratiques comme la méditation. Marc Benioff, patron de l’entreprise high-tech américaine Salesforce, a par exemple aménagé une salle de méditation à chaque étage de sa tour de bureaux de San Francisco. Quant au brasseur européen Carlsberg, il a carrément engagé un consultant en méditation. Forme d’entraînement mental volontaire, la méditation permet de se forger un nouvel équilibre. Elle apparaît de plus en plus comme l’antidote idéal à une surcharge d’informations et de responsabilité, susceptibles de générer frustration et démotivation. Des études récentes prouvent que lorsqu’elle est pratiquée en groupe, la méditation peut devenir un levier de productivité encore plus efficace. Cette discipline ancestrale dispense de nombreux bienfaits : elle renforce le sentiment d’appartenance, favorise la concentration, l’empathie, le sens des responsabilités et le calme. Elle peut aussi aider les collaborateurs à trouver le juste équilibre entre rapidité et stabilité. Inviter une personnalité renommée dans l’entreprise, adopter une communication claire qui mette en avant l’intérêt de participer sont autant d’initiatives pouvant inciter les collaborateurs à apprendre les techniques de méditation et à pratiquer. « L’agilité ne se limite pas un secteur ou un lieu », expose Isaac Getz. « Si nous donnons aux collaborateurs l’autonomie pour répondre par eux-mêmes aux enjeux actuels, la courbe de l’innovation et de la créativité va s’envoler. Il y a là un gisement humain encore largement inexploité. »