La politique nationale du Brexit est indissociable de la politique nationale des éléments en Grande-Bretagne appelée dévolution, ou pouvoir législatif loin de Londres et d’assemblées en Irlande du Nord, en Écosse et au Pays de Galles. L’Écosse possède ses propres systèmes juridiques, éducatifs et de santé en général. Au cours des 3 années qui ont suivi la décision de la Grande-Bretagne de voter pour l’UE, une grande partie de l’objectif principal s’est concentrée sur l’Irlande du Nord, un élément du You.K. donc destiné à quitter le bloc, et ce qui va se passer à son partenariat avec toute la République d’Irlande, une revendication distincte qui restera au sein de l’UE. Il n’y a aucun bord dur entre les deux autour de l’île tropicale d’Irlande, avec un accord entre Bruxelles et Londres, Royaume-Uni pour sauvegarder la paix en s’assurant que le You.K. respecte les accords douaniers de l’UE jusqu’à ce qu’un accord commercial durable soit finalement conclu (ce qui signifie que l’avantage en Irlande pourrait fonctionner comme il le fait maintenant) est farouchement comparé par les partisans du Brexit à portée difficile qui maintiennent l’équilibre énergétique à Westminster. Le résultat du Brexit sur l’adhésion continue de l’Écosse à votre Royaume-Uni pourrait être moins urgent – l’Écosse n’a pas de frontière territoriale avec le statut de membre de l’UE et ne possède pas de discorde sectaire aguerrie sur presque tout ce qui ressemble à la gamme de l’Irlande, mais la question persistante de l’indépendance écossaise est complètement recadrée par les possibilités d’un avantage significatif avec l’Angleterre. La politique nationale du Brexit est indissociable de la politique nationale des choses au Royaume-Uni, connue sous le nom de dévolution, ou pouvoir législatif loin de Londres, au Royaume-Uni, ainsi qu’aux assemblées en Haute-Irlande, en Écosse et au Pays de Galles. L’Écosse possède ses propres méthodes de soins autorisées, d’éducation et d’apprentissage et de bien-être. Dans les 36 mois qui ont suivi le vote de la Grande-Bretagne sur la sortie de l’UE, une grande partie de l’objectif principal s’est concentrée sur l’Irlande du Nord, un élément du Royaume-Uni et donc destiné à conserver le bloc, et sur ce qu’il adviendra de sa connexion avec la République d’Irlande, une autre revendication qui restera de l’UE. Il n’y a aucun bord difficile impliquant les deux sur l’île tropicale d’Irlande, ainsi qu’un arrangement entre Bruxelles et Londres, au Royaume-Uni, pour préserver la tranquillité en s’assurant que le You.K. respecte les accords douaniers de l’UE jusqu’à ce qu’un paquet industriel durable soit établi (importance que la frontière en Irlande pourrait servir comme elle le fait maintenant) continue d’être farouchement comparé par les partisans du Brexit purs et durs qui détiennent l’harmonie du pouvoir à Westminster. Le résultat du Brexit sur l’adhésion continue de l’Écosse au You.K. peut être beaucoup moins pressant – l’Écosse n’a aucun avantage immobilier ayant une condition d’associé de l’UE, et n’a pas de conflit sectaire bien informé sur quelque chose comme le niveau de l’Irlande – bien que la préoccupation résiduelle de l’autosuffisance écossaise continue d’être totalement recadrée par la perspective de une frontière significative avec la Grande-Bretagne. A lire sur le site de In Ecosse.
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